L'islam et les valeurs occidentales : qu'en disent les sources musulmanes authentiques et les représentants musulmans ? Pour vous aider à y voir clair et à juger : si Mahomet doit être érigé en modèle ; ce que l'islam apporte à l'humanité ; en quoi cet apport peut être ou non problématique.
Nouvelle publication disponible en juillet 2020 pour y voir clair sur l’islam(isme) et les raisons pour lesquelles la France n’en a pas fini avec cette idéologie terroriste. Le feu de la guerre civile couve : combien de temps mettra-t-elle pour éclater ?
Les manifestations de plus en plus fréquentes des «racisés» de tous poils, souvent en accointance avec l’islam, semblent être surtout l’occasion pour eux de revendiquer leur statut de victime perpétuelle et de manifester leur haine profonde de la France, considérée comme un pays fasciste (qualificatif tarte-à-la-crème de la haine ordinaire), pays d’autant plus vitupéré que l’histoire et la richesse culturelle immense de ce pays écrase leur orgueil de façon insupportable.
Curieusement, les racisés sont de profonds racistes et on voit bien peu d’asiatiques en leurs rangs, ceux-ci ne se sentant visiblement pas concernés par cette haine étant donné leur volonté de s’assimiler et de s’extirper de la médiocrité par le travail, ce en quoi ils réussissent fort bien.
La France, en prise avec la néfaste outrance des droits de l’homme, n’en a pas fini avec la hainedes victimisés.
Certains affirment que la France serait depuis toujours une terre d’immigration et, dans la foulée, que l’islam ferait par conséquent partie du patrimoine culturel de la France. Une immigration historique en France ? Ci-dessous un article publié le 28 mai 2020 dans Valeurs Actuelles donnant le point de vue d’Aram Mardirossian.
« Il n’existe pas d’immigration en France, à proprement parler, avant la seconde moitié du XIXe siècle. À ceux qui voudraient faire d’elle un élément constitutif de l’identité nationale, Aram Mardirossian , professeur agrégé des facultés de droit à Paris-I Panthéon-Sorbonne et directeur d’études à l’École pratique des hautes études (sciences religieuses), répond qu’il n’en est rien.
La France a depuis toujours été une terre d’immigration. Par ignorance ou par malice, cette antienne, qui est frénétiquement psalmodiée par le chœur des prêtres du “prêt-à-penser”, constitue une ineptie sur le plan historique, sauf à sup-poser que l’histoire de la France commence au XIXe siècle, comme le clament avec une docte assurance les nostalgiques de la Terreur révolutionnaire et autres adorateurs des droits de l’homme. Auparavant, forcément, il n’y avait que les ténèbres…
L’histoire est faite par les hommes. Celle de la France s’amorce avec le règne de Clovis, qui reçoit le baptême à la fin du Ve siècle, peu après la chute de l’Empire romain d’Occident (476-480). Les Francs éliminent alors les autres puissances germaniques présentes en Gaule pour instaurer la royauté mérovingienne. Ils étendent leur domination sur les autochtones gallo-romains qui sont eux-mêmes le fruit d’une synthèse entre les Gaulois, peuple celtique arrivé là au plus tard au VIIIe siècle avant J.-C., et leurs vainqueurs Romains (IIe -Ier siècle avant J.-C.). Une nouvelle fusion – d’où allait sortir la nation française – s’opère lentement entre les conquérants francs, qui représentent moins de 10 % de la population, et la majorité gallo-romaine. L’hostilité toute naturelle existant entre les vainqueurs et les vaincus n’empêche pas leur fusion progressive, essentiellement du fait que, depuis la conversion de Clovis, les uns comme les autres sont chrétiens. Cette foi commune va constituer un ciment efficace et, lors de l’avènement des Carolingiens (751), la synthèse est en voie d’achèvement.
Mais il y a plus. Outre la présence d’une communauté juive très minoritaire, cette synthèse incluait aussi à l’origine un élément supplémentaire, certes minime, mais qui joua également son rôle. Au fil des siècles, l’Empire romain avait enrôlé de nombreux Barbares dans son armée, qui manquait toujours d’hommes.
Si les éléments germaniques étaient les plus nombreux, la Notitia dignitatum, sorte d’annuaire civil et militaire qui récapitule l’état de l’empire à la fin du IVe siècle, indique la présence de contingents celtes, africains et orientaux. Parmi ces derniers, plusieurs sont stationnés en Gaule et, après la disparition de l’empire, une partie de ces soldats, qui sont surtout originaires d’Arménie, d’Iran et de Syrie, font souche dans leur pays d’adoption devenu désormais le royaume franc. Leur nombre total ne devait pas excéder quelques dizaines de milliers d’individus, mais on note que, vers la fin du IVe siècle, un roi d’Arménie déchu et son armée qui servent en Lorraine obtiennent, privilège exceptionnel pour des Barbares, le droit d’épouser des citoyennes romaines. Peu avant, l’un de leurs compatriotes était évêque de Metz, alors que Reims et Orléans accueillaient également des prélats originaires d’Orient, sans oublier le grand Irénée de Lyon, natif de Smyrne, qui, dès 177, siégeait dans la capitale des Gaules. Au Ve siècle, des cavaliers perses vivent en Champagne dans des cantons qui prennent parfois leurs noms. Au siècle suivant, en pleine période mérovingienne, le trône épiscopal de Paris est occupé par un Iranien, puis deux fois par des Syriens, tandis que les évêchés de Senlis, du Vermandois et d’Autun connaissent aussi des pontifes issus de ces lointaines contrées. Ces Orientaux, presque tous chrétiens, se sont progressivement fondus dans les populations gallo-romaines et franques. Au-delà des Alpes, le pape Hormisdas (514-523) porte un nom proprement iranien, l’un de ses successeurs, Théodore Ier (642-649), est un Palestinien et, dans la première moitié du VIIIe siècle, trois pontifes – Sisinnius, Constantin et Grégoire III – sont originaires de Syrie.
Par la suite, en dehors des incursions menées par les Magyars qui ne cherchèrent jamais à s’installer, les deux principaux mouvements de population touchant la Francie occidentale – initialement dans le cadre de l’éphémère Empire carolingien – se produisent aux IXe et Xe siècles. Les sanglantes incursions opérées durant des décennies par les Vikings païens, au nord, et par les sarrasins musulmans, au sud, eurent un dénouement différent. À la suite du traité de Saint-Clair-sur-Epte, concédé en 911 par le roi Charles le Simple, les Vikings reçoivent la Normandie (la terre des Nordmenn) en échange de leur conversion au christianisme. Minoritaires, les nouveaux venus fusionnent peu à peu avec la majorité franque qui les accueille.
À l’inverse, les sarrasins, après avoir été repoussés une première fois dès 732 par Charles Martel, puis complètement par son fils Pépin le Bref en 759, tentent de s’implanter en Provence au début du Xe siècle. Installés dans le massif des Maures (qui porte leur nom), ils contrôlent notamment La Garde-Freinet (Fraxinet), d’où ils seront chassés en 973. Là, aucune fusion ne se produit entre les envahisseurs et les autochtones. Chaque partie s’appuie sur une religion qu’elle considère comme l’unique vérité, à laquelle l’adversaire devrait finir par se ranger. La petite Reconquista franque du Xe siècle fait écho à la grande, menée par les Espagnols chrétiens, dont le pays a été occupé pendant près de huit siècles (711-1492) par les musulmans. En dépit de sa durée, cette période n’engendrera, là encore, aucune synthèse entre les deux populations. Le mythe d’Al-Andalus, qui conte une cohabitation quasiment idyllique entre les musulmans, les juifs et les chrétiens, doit être clairement dénoncé. Les musulmans se considéraient comme les maîtres dominant les deux autres communautés, dont la présence, en terre d’islam, n’était tolérée que si elles acceptaient le statut inférieur et dégradant de dhimmi.
En France, à la veille de l’an mille, la fusion des groupes gallo-romain et germanique est complètement réalisée. La population issue de cette synthèse ne subira quasiment plus aucun changement jusqu’au XIXe siècle. Les huit cents ans qui voient la royauté capétienne bâtir la France sont marqués par la grande stabilité d’une population puissamment rurale et sédentaire. La guerre de Cent Ans achève la construction du sentiment national français, imprégné de christianisme. De 15 millions d’habitants en 1300, la population française passe à 28 millions en 1789. Les apports démographiques étrangers sont résiduels, à l’exception d’une fraction de l’élite politico-religieuse – à l’image d’un Mazarin -, économique et culturelle.
Les choses changent seulement dans la seconde moitié du XIXe siècle. Vers 1880, le pays recense un million d’étrangers – en comptant leurs descendants naturalisés. Ils sont pour l’essentiel originaires d’Italie, d’Espagne et de Belgique. À la veille de la Grande Guerre, leur nombre a doublé. La saignée démographique causée par les combats ouvre la voie à une deuxième grande vague d’immigration, qui inclut cette fois des populations venues de pays non limitrophes, telles que les Polonais, les Russes fuyant le bolchevisme ou les Arméniens rescapés du génocide perpétré à leur encontre par les Turcs ottomans. Plus tard arrivent des Portugais, ainsi qu’une immigration originaire des colonies. En 1950, la France compte environ 4 millions d’étrangers ou de naturalisés pour une population dépassant légèrement les 40 millions d’habitants. Le plus souvent sans renier leurs origines, ces nouveaux venus s’assimilent et trouvent leur place dans la société française. Les Trente Glorieuses amènent une troisième vague d’immigration qui, comme les précédentes, est prioritairement liée au travail. Ces étrangers gardent leur nationalité et projettent de rentrer in fine chez eux.
Toutefois, cette nouvelle vague présente deux caractéristiques inédites. La majorité des immigrés ne sont plus des Européens de culture chrétienne, mais des Maghrébins et des Africains subsahariens presque toujours musulmans. La législation sur le regroupement familial adoptée en 1976 permet à ces immigrés de faire venir leur famille et précise que les enfants nés en France de parents étrangers peuvent, une fois majeurs, accéder à la nationalité française. Ce mouvement s’emballe dans les années 2000 et le sujet devient tabou : tout recours à des critères d’origine ethnique dans les recensements est prohibé par la loi. Des chiffres contradictoires circulent, mais les travaux les plus fiables indiquent que le solde annuel de l’immigration en France tourne autour de 150 000 étrangers. Concomitamment, environ 125 000 étrangers obtiennent chaque année la nationalité française. Cet artifice juridique permet d’affirmer que, stricto sensu , le nombre des étrangers ne croît presque pas. La réalité sociologique est assez différente. Depuis peu, l’Europe et la France sont submergées par des vagues de migrants, qui, pour une minorité, fuient les guerres qui déchirent le Moyen-Orient ainsi que certains pays africains, tandis qu’une majorité quitte sa terre d’origine pour des raisons économiques.
C’est la culture et la religion de la majorité des immigrés et plus encore de leurs descendants qui posent problème aujourd’hui. Il serait redondant de s’étendre sur l’échec du processus de fusion d’une partie non négligeable de ces populations avec les autochtones. L’histoire se répète-t-elle ? Au Moyen Âge, la présence musulmane en France et plus encore en Espagne – mais aussi dans de nombreux autres pays européens – a commencé et s’est conclue par un affrontement. À la différence du contexte médiéval, la présence actuelle des populations musulmanes n’est pas le fruit d’une conquête militaire. Entre-temps, la France, naguère profondément chrétienne, est devenue un État laïc. Théoriquement, les religions, et sur-tout leur dimension normative, devraient être exclues de la “sphère publique” pour être cantonnées à la “sphère privée”. En réalité, certaines religions, et l’islam en particulier, s’immiscent de plus en plus sur le terrain politique. De fait, chaque mois offre son lot de conflits d’ordre confessionnel (construction de mosquées, “carrés confessionnels” dans les cimetières, voile islamique, burkinis et autres, finance ou nourriture halal, etc. ), sans parler des crimes terroristes commis par des musulmans intégralistes. Ceux-ci, qui constituent une minorité en guerre totale contre la France, s’en prennent aussi bien aux musulmans qui ne respectent pas l’intégralité du droit (fiqh) censé appliquer les principes de la loi (charia) qu’à tous les autres mécréants que sont à leurs yeux les non-musulmans.
Les « Européens [ont] le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et à d’autrescivilisations. C’est une invitation implicite à une euthanasie collective », constate Jean-Louis Harouel. La France a longtemps imposé à des nouveaux venus, pourtant proches sur le plan religieux et culturel, un “modèle républicain” d’assimilation à la nation, qui repoussait leurs origines dans la stricte “sphère privée”. La méthode a été largement couronnée de succès. À partir des années 1980, alors même que le pays était confronté à l’afflux d’étrangers de culture et de confession totalement différentes, le canevas traditionnel a été abandonné sous la pression d’une idéologie multiculturaliste. Le Conseil européen a ainsi déclaré en 2004 que « l’intégration est un processus dynamique, à double sens, de compromis réciproque entre tous les immigrants et résidents des États membres ». Désormais, les étrangers et leurs descendants sont appréhendés comme les vecteurs d’une “diversité enrichissante” vouée à engendrer un irénique “vivre-ensemble”. Les pays d’Europe occidentale vivent une grave crise d’identité. Parallèlement, la France n’en finit plus de s’excuser pour son passé, pourtant souvent glorieux, préférant faire repentance pour ses épisodes les plus sombres. Las, aucun étranger ne pourra s’assimiler et moins encore aimer la France si les Français n’éprouvent pas un minimum de fierté nationale, sentiment fréquemment diabolisé, sauf le temps des grandes rencontres sportives ! Sur un plan holistique, la haine de soi est mortifère pour le malheureux qui est incapable de se projeter au-delà de son “petit moi” pour embrasser un idéal qui le dépasse.
La France est arrivée à un tournant de son histoire. Face au danger d’implosion de sa société, il est urgent de contrôler réellement et strictement les flux migratoires, tout en rétablissant le modèle d’intégration traditionnel. Pour Jean Sévillia, « un citoyen français, quelles que soient sa généalogie personnelle et la couleur de sa peau, est spirituellement un descendant des Gaulois. Être français, ce n’est pas naître en France, ce n’est pas posséder une carte d’identité, ce n’est pas bénéficier de la protection sociale, c’est partager un héritage à partir duquel se bâtit un projet d’avenir » . De fait, on naît français par le sang, mais on peut aussi et tout autant le devenir par volonté ; prétendre l’inverse reviendrait à trahir plus de quinze siècles d’histoire ! Mais une telle agrégation suppose d’adhérer sans réserve à une condition non négociable : faire sienne l’identité française dont les deux ventricules du cœur battant restent la religion chrétienne et la culture grécolatine. »
Un médecin vient de susciter sur CNews un tollé en évoquant, en pleine pandémie de coronavirus, le problème des crachats liés notamment à certains rites religieux comme le ramadan.
Bien entendu, tous les défenseurs de l’islam ont poussé des cris d’orfraie et certains semblent envisager de poursuivre ce médecin en justice.
Qu’en est-il vraiment ?
La propreté au temps du Prophète dans les lieux saints n’était visiblement pas une évidence si l’on en juge par les sources musulmanes (que chacun peut vérifier) :
Sahih Bukhari 219 : Selon Ana ibn Malik, le Prophète vit un bédouin uriner dans la mosquée. « Laissez-le faire », dit-il. Puis, quand le bédouin eut terminé, il demanda de l’eau et la répandit en cet endroit.
S’agissant du crachat, c’était visiblement une façon de faire habituelle chez les musulmans au sein même des mosquées :
Sahih Bukhari 405 : D’après Anas, le Prophète ayant aperçu une tache de mucosité buccale sur le mur de la qibla [dans la mosquée, mur indiquant la direction de La Mecque] en fut très peiné et son mécontentement se manifesta sur son visage. Il se leva, frotta la tache avec sa main et dit : « Lorsque l’un de vous accomplit la prière, il est en tête à tête avec Dieu. Que personne de vous ne crache donc dans la direction de la qibla mais qu’il le fasse soit à sa gauche, soit sous ses pieds. » Alors, prenant un pan de son manteau, il cracha dessus, puis il replia cette partie de l’étoffe l’une sur l’autre en disant : « Ou bien, faites ainsi. »
Pour ce qui concerne le lien avec le ramadan, il existe en effet puisqu’il est interdit à un musulman d’avaler pendant le Ramadan certaines choses sous peine de rompre le jeûne.
Voici quelques références issues d’un ouvrage classique de jurisprudence musulmane (chaféite) « Umdat as-Salik wa ‘Uddat an-Nasik » (« Le soutien du voyageur et les ressources de l’homme pieux »), ouvrage écrit principalement au XIVème siècle par le lettré Shihabuddin Abu al-‘Abbas Ahmad ibn an-Naqib al-Misri et dont la traduction anglaise a été examinée et déclarée conforme à la foi et à la pratique de la communauté sunnite actuelle selon le certificat délivré en 1991 par la très respectée université Al-Azhar du Caire.
Il y est par exemple écrit dans la section i1.18 que les événements suivants rompent le jeûne (traduit de l’anglais) :
(11) avaler la salive qui a quitté la bouche, comme lorsqu’on humecte à plusieurs reprises un fil pour le faire passer dans le chas d’une aiguille, réintroduisant ainsi dans la bouche de la salive qui était passée sur le fil ;
(12) avaler de la salive dont la qualité a été altérée, comme lorsqu’on humecte une aiguille pour la faire passer dans le chas d’une aiguille et qu’une partie de la teinture du fil reste dans la bouche et est avalée ;
(13) avaler de la salive rendue impure par un contact avec un élément impur, comme par exemple lorsqu’une personne crache une salive contenant le sang venant d’un saignement buccal et qu’elle avale le reste de sa salive sans avoir toutefois préalablement rincé sa bouche avec de l’eau ;
(14) avaler une mucosité présente dans le fond de la bouche alors qu’il aurait été possible de la cracher à l’extérieur de la bouche ;
Conclusion
La jurisprudence musulmane donne ainsi de multiples occasions au musulman de craindre un mauvais comportement le conduisant à cracher plutôt que d’avaler sa salive en application du sage « principe de précaution » tellement en vogue dans la société occidentale moderne.
On peut aussi consulter pour s’en assurer Éric Zemmour qui semble être devenu un spécialiste vu que les islamo-racailles semblent particulièrement apprécier de lui cracher dessus.
Bienvenue dans le monde merveilleux de la haute spiritualité selon Mahomet.
Passionné depuis bien des années d’histoire, d’histoire de la philosophie, d’histoire des religions, la déferlante du terrorisme musulman qui s’est abattue sur la France depuis 5 ans m’a conduit à étudier de façon approfondie les liens entre islam, violence et terrorisme, tout ceci afin d’y voir clair et de sortir de la confusion ambiante.
La lecture de certaines sources musulmanes – en particulier la biographie de Mahomet –, longtemps inaccessible aux non arabisants et rendue possible depuis peu en français (une vingtaine d’années environ à ma connaissance, soit très peu de choses à l’échelle de l’histoire de l’islam), permet maintenant à chacun de prendre conscience de la nature réelle de l’islam dans ses fondements les plus intimes.
Certains lecteurs peuvent s’étonner que les articles de ce site soient finalement pour l’essentiel « à charge » et donnent une image négative de la religion musulmane. C’est qu’au terme de plusieurs dizaines de milliers de pages de lecture, je ne parviens pas à trouver de quoi nourrir une vision plus positive de cette religion qui est fondamentalement à mes yeux une idéologie politico-religieuse de pouvoir, affublée d’un appendice spirituel d’une grande pauvreté et personnifiée par un prophète bien peu recommandable.
Aussi j’en appelle à mes lecteurs : aidez-moi, si c’est possible, à rétablir un équilibre peut-être rompu par une vision qui a pu dériver au fil du temps sous l’effet d’une subjectivité excitée par l’horreur du terrorisme musulman. Je n’ai jamais pratiqué la censure des commentaires qui ont pu m’être adressés sur ce site. Je suis tout à fait disposé à publier des opinions différentes des miennes dès lors qu’elles se fondent sur des éléments tangibles et vérifiables et qu’elles ne se résument à des incantations, à de la pantomime ou à des leçons de morale animées par le souffle de la victimisation et de la culpabilisation raciale in utero de l’homme blanc occidental et colonisateur.
Je remercie d’avance toutes les personnes de bonne volonté qui voudront bien participer à cette œuvre de vérité.
Bienvenue en France. La France a un nouveau visage. Il va sans doute falloir s’y habituer.
Quand une « islamo-racaille » est fière d’insulter et de menacer Éric Zemmour dans la rue…
Les chiens aboient, la caravane passe. Eric Zemmour a le courage de ne pas s’enfuir en Coran même s’il doit se méfier, car, comme disait Audiard, « Les cons, ça osent tout ». Sans oublier qu’Éric Zemmour est d’origine juive.
Qu’elle est loin la France de Molière, Racine, Chateaubriand, Voltaire, Hugo,….
Selon les informations données par Le Parisien, un homme, Youssef T., a foncé en voiture le lundi 27 avril 2020 sur deux policiers avec l’intention de les tuer.
S’agit-il d’un catholique français de souche, homme racisé blanc de plus de 50 ans, rendu ivre par la sur-consommation de vin de messe ? Laissons la justice se saisir de l’affaire. Heureusement, le vigoureux gouvernement français veille et nous protège des dangers qui nous menacent (plus de 260 morts dus aux attentats musulmans en France depuis 2015). Les bonnes gens peuvent dormir tranquilles.
Les mensonges gouvernementaux ont la vie dure. Le parallèle entre la période actuelle marquée par le coronavirus et ces trente dernières années d’importation massive en Europe de l’islam, coronavirus de l’esprit, n’est-il pas frappant ? Toujours la même inconséquence, le même dilettantisme, la même arrogance…
Le ministère de l’intérieur a publié le 26 janvier 2020 (NB : la date figurant dans le pdf téléchargeable est fausse) les statistiques des faits à caractère antisémite, anti-chrétien et anti-musulman.
Dans un pays, la France, où la victimisation des musulmans est un thème récurrent, il est intéressant de noter la discrétion des chrétiens qui subissent, de loin, les plus nombreuses attaques : 996 actions contre les chrétiens en 2019, contre 151 contre les juifs et 63 contre les musulmans.
Une lettre envoyée par un enseignant à feu la ministre de l’Éducation Nationale française, Najat Belkacem, ayant une difficulté certaine à assimiler la culture française et ses terroirs, lettre qui mérite de s’y attarder pour les rappels qu’elle contient sur quelques fondements de l’histoire du peuple français.
Lettre d’un agrégé d’histoire à madame le ministre de l’Éducation Nationale
Madame Vallaud Belkacem,
Ministre de l’Éducation nationale
22 septembre 2016
Vous avez voulu répondre à l’ancien Président de la République, Nicolas Sarkozy: « La ministre de l’Éducation que je suis connaît PARFAITEMENT les premières phrases de ce livre, Tour de France par deux enfants, d’Ernest Lavisse, sous la IIIe République : « Autrefois, notre pays s’appelait la Gaule et les habitants les Gaulois. ».
Pas de bol, comme dirait votre chef de l’Elysée, car, ce faisant, vous commettez une série d’erreurs historiques :
1) La phrase en question n’est nullement la première phrase du Tour de France par deux enfants, livre qui n’est pas de Lavisse, mais de G. Bruno, pseudonyme d’Augustine Fouillée. Ce manuel de lecture commence par une évocation de la guerre de 1870 : « Par un épais brouillard du mois de septembre, deux enfants, deux frères, sortaient de la ville de Phalsbourg en Lorraine […] par la porte de France. » Ce manuel scolaire ayant été tiré à 8,5 millions d’exemplaires, je m’étonne que « la ministre de l’Education » que vous êtes l’ignore.
2) Ce manuel n’était pas seulement en usage « sous la III° république » mais aussi sous la IV°, bien marquée à gauche, et durant les débuts de la V° République.
3) Lavisse, dans ses manuels de Cours moyen et Cours moyen et Certificat d’Etudes, Armand Colin, rééd 1929 et 1934, ne dit rien de cela ; il parle du pays et non du peuple : « Il y a deux mille ans la France s’appelait la Gaule. La Gaule était habitée par une centaine de petits peuples », ce qui est historiquement exact ; il ne s’agit pas d’un « roman historique » que vous et vos semblables, notamment les socialistes historiens, stigmatisez. Si vous aviez quelque connaissance du latin, que vous détestez tant, vous sauriez que Jules César écrivit les « Commentarii de Bello Gallico ».
Vous ajoutez ensuite : « Oui, il y a parmi nos ancêtres des Gaulois, mais aussi des Normands, des Celtes, des Burgondes… Les Niçois nous ont rejoints, les Corses, les Franc-Comtois, la Guadeloupe, la Martinique et puis après aussi des Arabes, des Italiens, des Espagnols…C’est ça la France. »
Vous commettez à nouveau plusieurs fautes historiques dans ce bric à brac :
1) Erreur qu’un élève de sixième (d’avant votre réforme du collège) n’aurait pas commise : les Celtes sont les Gaulois, habitant la Gaule centrale, la Gaule celtique, « qui ipsorum lingua Celtae » nous dit César livre I-1, entre Gaule Belgique et Gaule Aquitaine. Mais comme vous méprisez le latin…
2) Vous mélangez allègrement peuples et territoires et, apparemment, la chronologie des invasions n’est pas votre tasse de thé, même au harem (d’Archimède).
3) Vous considérez, comme autres ancêtres des Français, des peuples qui étaient éminemment Gaulois comme les « Franc-comtois », en réalité le peuple gaulois des Séquanes qui vivaient, après le traité de Verdun de 843, dans la Lotharingie de Lothaire et non dans la Francia occidentalis de Charles le Chauve. Mais à Sciences po, je doute qu’on enseigne le traité de Verdun et la naissance de la Lotharingie.
4) Il serait bon et même nécessaire de rappeler que ces invasions ne concernaient que quelques dizaines de milliers d’hommes, voire quelques milliers pour ce qui est des Normands, alors que la Gaule gallo-romaine était peuplée de 10 millions de Gaulois, soit 1/6 de l’empire romain, alors que la France compte 10 millions d’habitants vers le XII° s, 20 millions sous Louis XIV et près de 30 millions au début de la Révolution. D’un point de vue génétique les apports des peuples germaniques, des Normands et des pillards Sarrazins et Maures au Moyen Age et Barbaresques, du XV° s. à juillet 1830 – que vous devez bien connaître – et autres « migrants » et envahisseurs ont été démographiquement infimes, au total et sur 15 siècles, de l’ordre de 4 ou 5 %. Les historiens sérieux, au premier rang desquels Fernand Braudel dans « L’identité de la France », livre dont le titre seul doit provoquer chez vous un haut-le-coeur, et Pierre Chaunu, soulignent que, jusqu’au XIX° s., la population de la France était à plus de 90 % héritière des gènes des gallo-romains. La France terre d’immigration est une légende (une sorte de « roman historique de gauche et anti-français») colportée dans la bobosphère des journaleux/show-bizeux/cultureux parisianistes, faux historiens mais vrais pseudo – intellectuels – sans le « z’ » .
5) Dans votre énumération, vous oubliez – mais je doute que ce soit un hasard – les Arméniens, survivants du génocide perpétré par vos grands amis musulmans, les Turcs.
Par ailleurs, aveuglée par votre idéologie multiculturaliste, vous faites un contre sens sur ce qu’a dit notre ancien Président de la République : il ne dit pas que seuls les Français nés Gaulois, sont Français, il dit exactement le contraire : on ne nait pas Français/Gaulois, on le devient ; il parle comme de Beauvoir ! Cela devrait plaire aux féministes hystérisées de votre entourage …
Puisque vous prétendez « connaître parfaitement » le Lavisse, vous devriez, et vous auriez dû, Madame le Ministre, vous inspirer du frontispice où Ernest Lavisse s’adresse à l’Enfant (et non l’« apprenant » cher aux ayatollahs de l’Éducation qui grouillent et scribouillent dans votre ministère) : « Dans ce livre tu apprendrasl’histoire de la France. Tu dois aimer la France parce que la nature l’a faite belle, et parce que son histoire l’a faite grande ».
Cela aurait évité la destruction de son histoire et de l’Histoire en général ainsi que la francophobie qui règne dans les programmes et manuels d’histoire de la réforme du collège de 2016.
Veuillez croire, Madame le ministre à l’expression de ma considération.
Jean–Michel Lambin, Agrégé d’histoire, ancien professeur en Hypokhagne et Khagne